Alerte nucléaire: le Pakistan et l’axe anti-Israël menacent, Trump...
- Towanou Johannes
- Jun 14
- 3 min read

Dans un coup de tonnerre diplomatique, le Pakistan a averti les États-Unis que toute frappe nucléaire contre l’Iran serait suivie d’une riposte nucléaire directe contre Israël.
Cette menace, révélée par la chaîne israélienne Channel 13, a également été adressée à la France. Islamabad ne laisse planer aucun doute : si un pays intervient militairement contre Téhéran, l’armée pakistanaise rejoindra immédiatement l’Iran dans la guerre contre Israël.
Une position radicale qui place le Pakistan au cœur d’un affrontement géopolitique d’une ampleur inédite, avec des conséquences potentiellement apocalyptiques.
Un axe militaire mondial se forme autour de l’Iran
Le Pakistan n’est pas isolé. La Chine, la Russie, la Corée du Nord et le Pakistan se rangent désormais ouvertement derrière l’Iran contre "le terrorisme israélien".
Ce front anti-israélien, formé en marge des structures du BRICS, constitue une réponse directe à l’alliance stratégique entre Israël et les puissances occidentales.
Cette coalition nucléaire, dont les intentions sont de plus en plus claires, incarne le rejet d’un monde unipolaire dominé par Washington.
"Le monde est aux côtés de l’Iran. L’ère où les États-Unis utilisaient Israël pour intimider les nations est terminée", affirment déjà certains canaux diplomatiques.
Macron, Biden et les lignes rouges occidentales
Face à cette montée des tensions, Emmanuel Macron a affirmé que la France participerait à "des opérations de protection et de défense" d’Israël, si elle était "en situation de le faire", en cas de représailles iraniennes.
Trump appelle à la désescalade, mais valide l’opération israélienne
Donald Trump, sur son réseau Truth Social, a appelé à l’apaisement. Après un appel téléphonique avec Vladimir Poutine, il a déclaré que "la guerre entre Israël et l’Iran doit s’arrêter".
Il ajoute : "Il pense, comme moi, que cette guerre doit prendre fin". Fait marquant, il a aussi glissé un message au président russe :
"Je lui ai répondu que sa guerre doit aussi s’arrêter", en référence au conflit russo-ukrainien.









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