La star congolaise de la musique, Koffi Olomidé, a fait une annonce surprenante lors de son apparition dans l'émission « Bosolo na politik », animée par Israël Mutombo, ce lundi 17 juin. Il a confirmé son divorce avec sa première femme, Aliya, mettant ainsi fin à une union de presque 30 années. Aliya, mère de ses enfants, ne partage plus la vie de l'artiste. Cette révélation marque un tournant significatif dans la vie personnelle de Koffi Olomidé, connu pour sa carrière prolifique et ses succès musicaux.
Une dernière union : Cindy le Cœur
Koffi Olomidé a également profité de cette occasion pour parler de sa nouvelle relation avec Cindy Le Cœur, une chanteuse qui fait partie de son groupe Quartier Latin.
Il a exprimé son bonheur et sa satisfaction dans cette nouvelle union, affirmant que Cindy est désormais la femme de sa vie et qu'elle sera la dernière. Koffi Olomidé a déclaré :
« Actuellement, je vis dans une relation où on m’appelle bébé du matin au soir, avant ce n’était pas le cas ».
Cette déclaration témoigne de l'affection et de l'amour qu'il ressent dans cette nouvelle relation, contrastant avec son expérience précédente.
Respect et dignité pour Aliya
Malgré la séparation, Koffi Olomidé a tenu à montrer un grand respect pour Aliya, la mère de ses enfants.
Il a insisté sur le fait qu'il n'aurait jamais de mots déplacés à son encontre, soulignant l'importance de maintenir une relation respectueuse et digne. Il a affirmé :
“La mère de mes enfants, je la respecterai toujours, à aucun jour elle n'entendra Koffi dire un mot déplacé contre elle”.
Cette déclaration montre son engagement à préserver l'honneur et la dignité de son ex-femme malgré la fin de leur mariage.
Un engagement solennel
En évoquant son avenir, Koffi Olomidé a exprimé son désir que Cindy Le Cœur soit celle qui l'accompagne jusqu'à la fin de ses jours.
Il a fait une déclaration solennelle concernant son souhait pour ses funérailles :
« Si je meurs, les gens doivent présenter les condoléances à Madame Cindy Le Cœur. C'est elle qui doit m'enterrer, pas une autre. C'est mon choix ».
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