
À l’approche des Assises nationales, prévues du 15 au 19 février 2025 à Niamey, des voix s’élèvent contre le processus engagé par le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP). Plusieurs organisations de premier plan ont annoncé leur non-participation, remettant en question la transparence et l’objectivité des discussions.
Des préoccupations sur l’inclusivité du processus
L’Ordre des Avocats du Niger a été l’un des premiers à se retirer des Assises, estimant que "le cadre et les délais annoncés ne garantissent pas un véritable débat sur les préoccupations majeures du peuple nigérien", notamment en matière de justice et d’État de droit.

De son côté, l’Association Nigérienne de Lutte contre la Corruption - Transparency International (ANLC-TI Niger) refuse également de prendre part aux discussions.

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