
C'est un nouveau conflit qui s'ouvre. Le Niger riposte après l’annonce par Orano de la suspension de la production d’uranium sur le site d’Arlit. Une semaine après la décision du groupe français, les autorités nigériennes contestent fermement cette initiative unilatérale, dénonçant un manque de transparence et une violation des accords de gouvernance.
Un désaccord qui se transforme en crise
Le 31 octobre, la Société du Patrimoine des Mines du Niger (Sopamin), coactionnaire de la Somaïr avec Orano, a diffusé un communiqué exprimant son indignation face à cette décision.
"Malgré sa qualité de coactionnaire, la Sopamin n'a pas été consultée sur cette décision grave", a déclaré la société d'État nigérienne, ajoutant que cette démarche enfreint les "principes et pratiques essentiels à la gouvernance".

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