S€xtapes de Shani Lips et Moody : l'aveu qui embrase la toile
- Towanou Johannes
- Aug 6
- 2 min read
Depuis plusieurs jours, le nom de Shani Lips est au cœur d’un véritable raz-de-marée médiatique. En cause : la fuite d’une sextape explicite dans laquelle on la voit aux côtés d’une femme identifiée comme Moody. La scène, dont le contexte semble se situer en Ouganda, a rapidement enflammé WhatsApp, X (ex-Twitter), et Telegram, suscitant un débat houleux entre moqueries, condamnations et vagues de soutien.
Shani Lips brise le silence
Face à l’ampleur de la polémique, Shani Lips est sortie du silence.
Dans une déclaration relayée par The Pearl Times, elle confirme :
"Oui, c’est bien moi dans la vidéo, mais je ne suis pas lesbienne. Je suis attirée par les hommes uniquement."
Un aveu franc, sans détour, dans un contexte de pression intense sur les réseaux.
Tout en reconnaissant les faits, la jeune femme affirme avoir été bouleversée par la tournure des événements, notamment les jugements moralisateurs et les attaques personnelles.
Entre lynchage public et soutien discret
La fuite de la vidéo a divisé l’opinion. D’un côté, des internautes la clouent au pilori, la qualifiant de tous les noms.
De l’autre, certains appellent à la retenue, dénonçant une violation flagrante de sa vie privée et rappelant que personne n’est à l’abri d’une telle exposition non consentie.
D’ailleurs, de nombreuses voix s’élèvent pour pointer du doigt un système de voyeurisme numérique qui humilie, détruit et exploite sans vergogne.
"Ce n’est pas la vidéo qui choque, c’est l’hypocrisie de ceux qui la partagent tout en insultant la victime", commente un internaute sur X.
L’autre facette du scandale : Moody
La femme présente dans la vidéo, nommée Moody, reste discrète pour l’instant. Aucun commentaire public de sa part n’a filtré.
Son identité exacte, son lien avec Shani Lips ou son implication dans la fuite n’ont pas été éclaircis.
Cette absence d'information alimente d’ailleurs les critiques sur le sexisme ambiant dans la gestion des "sex scandals" : la femme exposée paie le prix fort, l’autre partie reste dans l’ombre.
Une affaire révélatrice d’un fléau numérique
Ce scandale relance une fois encore la problématique des contenus intimes diffusés sans consentement.
Ces fuites, devenues monnaie courante dans la sphère des réseaux sociaux, brisent des vies et détruisent des réputations en quelques heures.
Si Shani Lips a choisi d’assumer et de parler, beaucoup d’autres sombrent dans le silence, l’isolement ou même la dépression.
Les appels à la responsabilisation collective et à un encadrement juridique plus strict se multiplient.
Une victime ou une figure de courage ?
Shani Lips n’est peut-être pas une simple victime d’un buzz.
Par son aveu public, elle pose un acte fort, qui pourrait servir d’électrochoc dans cette ère numérique où la frontière entre vie privée et vitrine publique est de plus en plus fragile.
"Je demande pardon à ceux que j’ai pu choquer, mais je remercie aussi ceux qui me soutiennent", a-t-elle déclaré.
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