Lamine Yamal et la star du p0rno, Claudia Bavel; nouveau scandale
- Towanou Johannes
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À seulement 17 ans, Lamine Yamal, pépite du FC Barcelone et de la Roja, est déjà confronté aux dérives de la célébrité.
En l’espace de quelques jours, deux affaires ont agité la sphère médiatique espagnole.
Après Fati Vázquez, influenceuse accusée à tort d’avoir entretenu une liaison avec le jeune prodige, c’est Claudia Bavel, actrice de films pour adultes, qui se retrouve dans la tourmente.
Cette dernière a publié un communiqué officiel pour répondre aux déclarations de Yamal, après que le joueur l’a évoquée dans l’émission TardeAR.
Une émission, une phrase, une explosion médiatique
Invité à réagir aux rumeurs d’une supposée relation avec Claudia Bavel, Lamine Yamal a répondu avec assurance dans l’émission TardeAR :
« Vous pouvez lui demander. Elle vous sortira l’excuse habituelle du genre : “Non, je l’ai rejeté parce qu’il est mineur…” Mais on ne s’est jamais vus parce que c’est moi qui lui ai dit non. »
« C’est impossible qu’elle ait une photo avec moi. Je ne l’ai jamais rencontrée… C’est impossible qu’elle ait une photo d’elle entrant chez moi. Aucune femme ne peut entrer chez moi parce que je vis avec ma mère. »
Une déclaration destinée à éteindre les rumeurs… mais qui a plutôt jeté de l’huile sur le feu.
Claudia Bavel contre-attaque avec un communiqué mesuré
Face à cette sortie médiatique, Claudia Bavel, 29 ans, a décidé de sortir du silence après plusieurs mois de retenue.
Sa réaction se veut à la fois ferme et respectueuse :
« J’ai choisi de ne pas m’exprimer publiquement à ce sujet en 2025. Cependant, puisque Lamine Yamal a évoqué notre prétendue relation dans TardeAR, je trouve approprié de partager ma version avec clarté et respect. »
L'actrice ne cache pas sa stupéfaction face aux propos du joueur. Elle affirme :
« Il dit m’avoir rejetée, alors que c’est lui qui a cherché à entrer en contact avec moi et insisté pour me rencontrer. Il nie que nous nous soyons vus, malgré plusieurs croisements lors d’événements sociaux. »
Plus grave encore, elle assure que l’image d’une prédatrice adulte tentant d’approcher un mineur ne correspond pas du tout à la réalité :
« Je n’ai JAMAIS eu de relation avec un mineur, jamais organisé de rencontre, et il n’a jamais été question de célébrité ou d’argent. »
Tout en rappelant un fait sur lequel, dit-elle, ils s’accordent :
« Le seul point sur lequel nous sommes d’accord, c’est qu’aucune rencontre ni situation n’a jamais eu lieu entre nous. »
Une semaine toxique pour les femmes ciblées par les rumeurs autour de Yamal
La déclaration de Claudia Bavel survient à peine 48 heures après l’épisode Fati Vázquez.
L’influenceuse, également associée à Lamine Yamal, a été l’objet de critiques violentes, de harcèlement en ligne, et même de menaces de mort.
Sur ses réseaux, elle a été contrainte de rappeler une chose élémentaire, le respect de sa vie privée.
Cette succession d’attaques médiatiques, toutes centrées autour d’un adolescent devenu icône, soulève une question lourde : pourquoi ce besoin de construire ou de détruire sur des histoires personnelles ?
Yamal, au cœur du tourbillon : victime ou acteur de sa propre narration ?
Ce qui frappe dans ces deux affaires, c’est la symétrie. D’un côté, un jeune joueur médiatisé au-delà du raisonnable.
De l’autre, des femmes confrontées à un tribunal populaire sans preuve.
Si Lamine Yamal clame son innocence et nie tout lien avec Claudia Bavel, sa volonté d’éteindre la rumeur en prenant la parole publiquement a paradoxalement ouvert un terrain d’affrontement médiatique.
Claudia, comme Fati Vázquez, demande aujourd’hui du respect, de la décence et le droit à la vérité, loin du spectacle et des stéréotypes.
Vers un apaisement ou une escalade ?
Dans un monde où les réseaux sociaux transforment la moindre rumeur en crise mondiale, la situation interpelle.
Il ne s’agit pas seulement d’une histoire de foot, de célébrité ou de rumeurs sexuelles : c’est un révélateur de notre époque, où la frontière entre vie privée, buzz et diffamation est de plus en plus poreuse.
Claudia Bavel conclut son message par un appel à l’humanité :
« Derrière les gros titres et l’opinion publique, il y a des êtres humains. Par respect, je demande de la compréhension et de la retenue. »
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