Selon plusieurs sources concordantes, l’artiste ivoirien Soumahoro Moryfere, alias Molare, vient de recouvrer la liberté.
Il avait été placé sous mandat de dépôt à la suite de l’accident mortel dans lequel une jeune femme, Élise Tolah, avait perdu la vie.
Selon les sources à Abidjan, le promoteur culturel a finalement été libéré sans qu’aucun procès n’ait eu lieu.
Une procédure qui interroge
Cette libération rapide suscite de nombreuses interrogations au sein de l’opinion publique.
Son incarcération au pôle pénitentiaire d’Abidjan avait marqué une étape décisive dans la procédure judiciaire
La levée soudaine de cette mesure, sans jugement rendu, ouvre le débat sur les contours exacts de l’affaire.
Une affaire qui continue de diviser
Entre émotion et incompréhension, l’opinion reste partagée.
D’un côté, des voix s’élèvent pour rappeler le drame de la disparition d’Élise, victime de l’accident.
De l’autre, certains considèrent que la libération de Molare pourrait être liée à des évolutions juridiques qui restent, pour l’heure, non clarifiées.
Une suite encore incertaine
La question désormais est de savoir si cette remise en liberté met un terme définitif à l’affaire ou si d’autres développements judiciaires pourraient suivre.
En attendant plus de précisions, la sortie de prison de Molare marque un nouveau tournant dans ce dossier qui tient en haleine l’opinion ivoirienne.
Pour rappel, Soumahoro Moryfere dès son incarcération, avait initié des actions en faveurs des populations carcérales.
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