France: Emmanuel Macron isolé; Attal lâche une bombe en direct sur TF1
- Towanou Johannes
- Oct 6
- 3 min read

C’est un choc politique sans précédent confirmé par le dernier sondage Odoxa, publié ce 6 octobre 2025 : 70 % des Français demandent désormais la démission d’Emmanuel Macron, soit une hausse spectaculaire de 16 points en un an.
Ce chiffre, relayé par plusieurs médias dont La Dépêche, établit un record absolu de défiance envers le chef de l’État depuis son arrivée à l’Élysée.
Selon les données disponibles sur le site officiel d’Odoxa, cette proportion n’avait jamais été atteinte auparavant.
En septembre 2024, ils étaient 54 % à souhaiter son départ. En un an, la colère s’est muée en rejet pur et simple.
L’institut souligne que “le désamour entre Emmanuel Macron et les Français a pris une dimension historique”.
Une colère transversale
Le sondage montre que la demande de démission dépasse les clivages partisans.
Les électeurs de droite, de gauche et même certains anciens soutiens du président expriment une exaspération profonde.
Les jeunes, les ruraux et les classes populaires figurent parmi les plus critiques, estimant que Macron “ne comprend plus les réalités du pays”.
Plus de 8 Français sur 10 jugent désormais que “le président n’écoute pas les citoyens”, selon Odoxa.
Cette perception s’aggrave à mesure que les réformes controversées et la crise institutionnelle s’enchaînent.
Le quinquennat, qui devait être celui de la transformation, s’enlise dans un climat d’usure et d’incompréhension.
Un tournant politique en direct
Dans ce contexte explosif, un autre événement est venu accentuer la crise de confiance.
Ce même 6 octobre 2025, sur le plateau du journal de 20h de TF1, Gabriel Attal a provoqué un séisme politique en se désolidarisant ouvertement du président.
L’ancien Premier ministre, longtemps perçu comme le dauphin loyal de Macron, a lâché une phrase cinglante :
« Je ne comprends plus les décisions du président. »
Une déclaration choc, prononcée alors que le pays est paralysé par les négociations politiques et la démission du ministre des Armées Sébastien Lecornu.
“Une forme d’acharnement à vouloir garder la main”
Attal n’a pas seulement exprimé un désaccord. Il a dénoncé ce qu’il appelle “une forme d’acharnement à vouloir garder la main”, visant directement le mode de gouvernance d’Emmanuel Macron.
Il a plaidé pour un retour à la concertation et à l’équilibre institutionnel :
« Nous devons retrouver un cap collectif. Personne ne peut diriger seul dans un moment pareil. »
Comments